Quand passons-nous du rêve au cauchemar, à quelle instant passons-nous de l'autre côté de la barrière. Je me posse souvent cette question. Mes compatriotes me disent souvent de penser au présent je ne peux m'empêcher de me rappelé de la chute qui fit de nous des vagabonds alors que nous dominions naguerre la galaxie. nous sommes à présent quoi quand disent mes amis rien d'autre qu'une de ses races qui on si peut d'importance dans ce monde. Nous ne sommes plus ce fier conquérant qui peuple nous légendes mais un peuple apeuré fuyant son destin. Pourquoi sommes-nous revenus des limbes avons-nous un rôle a joué dans cet univers hostile ou ne sommes-nous qu'un vaisseaux monde de plus je ne sais point, quelle honte moi le grand prophète de Malaryel ne voit l'avenir que sous la forme d'un épais nuage de brume rouge dans laquelle je vois notre race dépérir, chaque nuit les morts des batailles passées vienne me tourmenter me demandants pourquoi, à quoi a servi leur mort et moi je reste mues devant ce spectacle maccabre de chair pourrie flottant dans ma chambre criant au désséspoir, je sens leur main froide et putride se possait sur ma gorge. Je ne mange plus chaque aliment me rappelle la chair immonde de ces damnés, chaque parole a un relent d'haleine de soufre, le sucre a un gout de cendre et le sel un gout de sang. Je suis perdus, des fois je médite et je la vois, je vois la mort elle-même armée de ça grande faux, je veux la rejoindre mais des ronces de feux me retiennent au sol une voix rauque me dit de rester et j'ouvre les yeux je reviens dans ce monde. Je veux échapper à sa folie et je ne peux pas, je suis la à peine capable de me déplacer pourquoi, pourquoi donc la vie me retient ici. Je ne sais pas, je ne sais rien
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Je fixais ce ciel rougeâtre qui masquait le soleil, il évoqua en moi un profond malaise, il semblait ce rire de ma terreur à coups d'éclair moqueur, je me dis que cela était le fruit de mon imagination et alors que je m'apréttais à partir de cet endroit malsain ma tête ce mis a tournait et le noir se fit autour de moi. Durant mon sommeil je vis d'ombre disait autour de moi, le chant était cris et leurs rires pleurent. Le sol était gris et d'immense tour distordu faite de pierre noire montait vers le ciel blanc comme la neige. À mon réveil on m'expliquait ce qui cetait passait, une carence de vitamine et de sucre dans le sang, on forcit à avaler un fruit et peine celui-ci entra en contact avec ma langue que je sentis un gout de chair pourrie et je faillis en vomir. On me dit que je devais manger plus souvent et qu'on y veillerait. Je rentrais chez moi et me passa de l'eau sur le visage, je vis dans la glace mes yeux passaient du vert au jaune doré le tout en quelques secondes pour partir vers le gris acier, une profonde chaleur me déchira le torse, ma tête et alors que je mis mes mains dessus elle fure parcourut d'éclaire. Puis le sol craquela sous mes pieds ma voie se fit plus grave et je sentis une nouvelle conscience ce mélangé à la mienne. Je lutte contre ces furieux intrus mais je ne pus rien faire. Tout redevint normal a l'exception de mes yeux et avant que le noir ne voile ma vision je les vis se draper d'un voile brumeux. dans le noir le plus complet je tentais de trouver des points de repert. Ci la chose était parti elle avait emporté m'a vu avec elle. Je trébuchais et je sentis le sol heurtait ma tête
je touchais la peau à proximité du mais yeux parcourus de cicastrise et de brûlure. Assis sur une banquette avec mon conseil d'archonte le Falcon poussait c'est moteur au maximum et malgré le fait que l'habitacle soit clos l'air sentait la poussière.
-"Grand prophète Immolan nous approchons du centre de commandement."
-"Bien."
-"Hum... Vous auriez pu vous rendre plus présentable."
-"Comment ça ?"
-"Vous n'êtes ni coiffé ni rassé et vous avez plus de cernes qu'un cadavre"
-"C'est Amalan qui vont râler" dis je en souriant.
Amalan était un des plus influents aut du vaisseau monde et un ami, je ne sais comment il se porte et ma cécité ne va rien arrangée à cela. Les moteurs s'arrêtèrent doucement et la soute s'ouvrit. Un des archontes me prit le bras et me guidait en dehors du véhiculent.
-"Une fois à l'intérieur dois-je vous aider"
-"Non ça ira je suis aveugle pas sénile du moins pas encore, rappelez-moi la situation s'il vous plaît.
-"Une légion nécron se déploie sur un monde vierge, Félénor je crois"
Nous entrâmes dans le centre et je sentis une odeur poisseuse m'envahir le nez. Je sentis une partie de mon âme entrait dans le corps d'un de mes aprentit et vis par ces yeux Amalan et plusieurs eldars baignant dans un liquide vermeil.
svp: donné votre avis