Par le mal Chapitre 3 : Victoire et Honneur

La douleur était atroce et lui comprimait le thorax, rendant son souffle laborieux et irrégulier. Taros avait eu de nombreuses blessures au long de sa carrière de soldat, et il avait appris à reconnaître les symptômes de plusieurs côtes cassées. A bien des égards, il s’estimait chanceux : il aurait pu avoir un poumon perforé par l’une des côtes réduite en miettes.

Les analgésiques qui lui avaient été administrés d’urgence ne l’avaient soulagé qu’un temps, mais il avait refusé  de quitter la cour du préfabriqué ; il s’estimait encore capable de superviser. Le géant en armure noire et à la barbe fournie était resté à ses côté, semblant attendre quelque chose ou quelqu’un. Il s’était assis à côté de son brancard et n’avait pas dit un mot, comptant à voix haute, à peine audible à cause des fusils et des canons qui achevaient les quelques Tyranides encore présents. Ils semblaient totalement désorientés et leur attaque des fortifications avait été réduite à peau de chagrin.

Nul doute pour Taros que le Space Marine et les combattants qu’il avait sans doute emmenés avec lui y étaient pour quelque chose. C’était un jeu de massacre qui se tenait dans la cour à présent.

Le temps semblait redevenir plus calme, et Taros avait manqué de perdre conscience à plusieurs reprises. Fermant les yeux et somnolant une énième fois, il entendit comme un bruit, sourd et rapide, qui semblait venir d’à travers un mur. La tête lui tournait lorsqu’il articula sans même se rendre compte qu’il parlait à voix haute : « Un grattement… Y’a un grattement… »

Le Space Marine s’était alors relevé, lui disant avec un sourire approbateur : « T’as l’oreille toi ! » avant de se diriger vers le trou par lequel le Trygon était passé. Sortant pour quelques secondes de sa torpeur, Taros eut comme une réminiscence, une peur panique issue de sa lointaine enfance, lorsqu’il entendait les rats courir à l’intérieur des murs de sa chaumière, sur son lointain monde natal.

Le géant fit passer sa hache énergétique dans sa main gauche, puis il attrapa un objet de petite taille situé au niveau de sa hanche. Les grattements dont les sons semblaient désormais jaillir du trou dans le sol étaient de plus en plus audibles, et accompagnés de cris épars et affreux. Taros ne pouvait le voir car il lui tournait désormais le dos, mais le sourire du Space Marine affichait un sentiment de profonde satisfaction.

Les bruits se rapprochaient au point de donner l’impression que le sol entier allait se briser, et le Space Wolf continuait à compter d’une voix de plus en plus audible. Il criait presque.

Puis un hurlement retenti et une créature que Taros identifia immédiatement comme « une putain de saloperie à quatre bras » en jaillit en sautant à près d’une dizaine de mètres au-dessus du sol. L’ange de l’Empereur appuya alors sur un bouton situé au sommet du mécanisme qu’il avait dans la main droite, provoquant une explosion qui fit s’effondrer une partie du sol de la cour du préfabriqué. Une grande colonne de feu et de fumée s’éleva du trou avant que tout ne s’effondre. La créature retomba sur ses pattes arrières et se précipita avec une célérité remarquable vers le Space Marine qui tenta de la fendre en deux dans un revers de lame de sa hache énergétique.

Taros, toujours incapable de bouger, était contraint de se cantonner au rôle de spectateur. Il se souvint vaguement avoir vu le Marine jeter un chapelet de grenades dans le trou lors de son combat contre le Trygon, et rien n’avait explosé à ce moment-là.

Il savait donc que les autres saletés allaient exploiter ce point pour nous prendre à revers. Plutôt malin… Mais pourquoi ne pas l’avoir fait sauter tout de suite ?

Le combat se déroulait rapidement, les deux adversaires se tournant autour pour mieux attaquer ou parer, sans jamais que l’un des deux ne parvienne à infliger une blessure décisive. Ironiquement, le Space Wolf avait l’air de plus peiner face à cet adversaire ; Taros supposa que le Trygon avait été très légèrement plus lent, ce qui avait avantagé le guerrier semi-divin. Face à une créature aussi rapide que lui, il semblait peiner à trouver l’ouverture. Une seule occasion suffirait…

Comble de l’ironie, les gardes de réserve qui assistaient eux aussi au combat ne pouvaient ouvrir le feu, craignant de toucher le guerrier désormais tête nue.

Il fut soudainement jeté au sol, un revers de bras griffant en profondeur la céramite de son armure. Taros l'avait à peine aperçu, mais en avait pourtant la certitude : un coup de cet ignoble bras terminé par une énorme griffe à trois doigts aurait aisément put déchirer la céramite. La créature n’avait même pas attendu qu’il soit renversé pour tenter de l’achever. Taros eut un haut-le-cœur en se disant « C’est finit… » lorsqu’il vit le monstre s’effondrer à son tour. Il n’y avait pourtant pas eu le moindre coup de feu.

- T’en as mis du temps ! cria le Space Wolf en feignant la contrariété.
- Et toi tu n’es vraiment pas raisonnable, répondit une voix rendue grave et profonde par le port d’un casque hermétiquement clos.

Taros regarda en plissant les yeux, et vit le manche d’un glaive dépasser au niveau de la nuque de cette saloperie. Il lutta pour ne pas succomber au sommeil qui l’appelait avec une force grandissante et remarqua qu’il n’y avait plus le moindre bruit de tir au loin. Cette bataille était certainement terminée.
C’est alors qu’arriva dans son champ de vision un second géant, à l’armure similaire à celle du premier, qui marchait d’un rythme tranquille vers son camarade qui s’était déjà relevé. Il finit par s’évanouir, priant l’Empereur pour que cette victoire ne soit pas qu’un rêve.

Les deux membres de la Deathwatch regardèrent les brancardiers évacuer leur colonel au cœur du préfabriqué afin qu’il y soit enfin soigné correctement. Le seul fait qu’ils ne l’aient pas fait avant, simplement parce qu’il le leur avait ordonné, témoignait de l’autorité qu’il avait sur eux.

- Tu as encore perdu ton casque, fit remarquer le second géant.
- Je suis au courant, répondit Wulfric en étirant les muscles de sa nuque. Le Trygon a sûrement trouvé ça plus équitable de m’en priver.
- Ça ne l’a pas empêché de succomber, fit remarquer l’Astartes en enlevant son propre casque, le verrouillant magnétiquement au niveau de sa taille. Tu ne lasseras jamais de me surprendre, capitaine.
- Et toi, Sandro, tu ne perds jamais une occasion de faire admirer ton faciès aux mortels, se moqua le Space Wolf.
- Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles, répondit le Blood Angel en souriant.

La beauté des traits du fils de Sanguinius était effectivement frappante, presque inhumaine. Ses cheveux blonds cascadaient jusqu’à sa nuque, et ses traits d’une finesse étrangement dérangeante avaient quelque chose de fascinant. On aurait dit une statue qui aurait pris vie, et le contraste avec le visage dur et buriné du fils de Russ n’en était que plus saisissant.

- Où en sont les autres ? demanda-t-il à son capitaine avec un ton plus sérieux.
- Ils arrivent. Mission accomplie. Notre navette sera là d’ici peu, on a un peu d’avance sur les prévisions émises par le précieux cogitator de Nolt.
- Je vois. Il semblerait que ton plan ait marché comme prévu. Tuer toutes les créatures faisant office de commandants chez ces insectes pratiquement au même moment… il fallait y penser. Je ne les ai jamais vus aussi désorganisées. Le contrecoup a dû leur faire très mal à la tête.
- Le capitaine a toujours raison, dit le Space Wolf en souriant en même temps qu’il se retournait.

Face à eux arrivaient sept autres géants en armure noire. Ils avaient dû se regrouper juste avant de rentrer dans le campement des humains, qui s’écartaient sur leur passage avec révérence et crainte.

- Et voilà mes louveteaux ! s’exclama le capitaine en affichant un air ravi et paternaliste. Tout le monde est en un seul morceau ?

L’escouade complète garda le silence, et le sourire du capitaine s’effaça rapidement. Il y avait dans l’air une tension impossible à ignorer. Finalement, l’un d’eux s’avança au-devant du groupe.

- Quand repartons-nous, capitaine ?
- Aussitôt que notre navette sera là, Ambrosius. Les autres, allez garder les points clefs de cette base au cas où les bestioles nous réserveraient une surprise.

Chacun des membres de l’escouade, Sandro inclus, répondit immédiatement et avec une discipline ressemblant à de l’automatisme. Le Blood Angel récupéra son glaive énergétique dans la nuque du Genestealer et remis son casque, obéissant avec plus d’entrain que ses frères d’escouade.

- Ambrosius, pas toi. J’aimerais que tu ailles parler au chef des mortels.
- On nous a dit de ne pas adresser la parole aux humains.
- Concernant la mission oui, répondit le Space Wolf en posant négligemment sa hache sur son énorme épaulière. Mais j’ai pensé que tu aimerais avoir des nouvelles de ton chapitre.

Le Black Templar resta parfaitement figé pendant plusieurs secondes. Même si son casque cachait sa physionomie, il se devinait qu’il était surpris.

- Qu’est-ce qu’un mortel…
- Le petit colonel a reçu les honneurs Black Templars : il avait une croix de ton chapitre sur l’épaulière de son armure. Armure en céramite qui plus est. Il a dû sacrément impressionner tes frères pour qu’ils lui forgent un tel cadeau. Tu n’as vraiment rien à lui dire ? La navette ne sera pas là avant plusieurs minutes.

Le fils de Dorn ne répondit rien et rentra dans le bâtiment d’un pas emporté.

Wulfric sourit à nouveau en regardant son escouade, « ses louveteaux », prendre place aux différents points de défense stratégiques de la base. Les humains les regardaient avec déférence et fascination, et aucun d’entre eux ne sembla oser ne serait-ce que s’adresser à eux directement. Déjà, on évacuait les cadavres, et on accompagnait les blessés à l’infirmerie. Le seul qui avait l’air pleinement à son aise était Quintus ; l’Ultramarine avait servi plusieurs fois auprès de mortels avant d’être sélectionné pour appartenir à la chambre militante de l’Ordo Xenos.

Au contraire, Eriksson et Nolt transpiraient le mépris pour ces humains qui leur semblaient si faibles.

Wulfric, de son côté, retourna vers le cadavre du Trygon, qui émettait déjà une odeur abominable. Son casque cabossé reposait tout près du cadavre de la bête. Il le récupéra et sourit, verrouillant magnétiquement l’objet à sa hanche, avant de dire à voix basse : « Un jour, je terminerai une mission avec ce truc en bon état et sur ma tête. »

Sur un canal privé, la voix de Sandro lui répondit : « Ne rêve pas capitaine. Tu le perds même à l’entrainement ! »
Le fils de Russ s’esclaffait encore quand la navette finit par arriver.

Texte enfin posté ! Je suis curieux et impatient d'avoir vos avis ! Une pensée pour Raziel dont nous n'avons toujours pas de nouvelles et qui était souvent le premier à venir dans cette section.

Toujours pareil, très agréable à lire et très intéressant. Bon, personnellement je n'aime pas trop cette ambiance "space marines ont tué tous les méchants" qui transparaît dans cet épisode.Mais ça, c'est une question de goût

en espérant que tu continueras à écrire aussi bien, en restant dans le loisir (quand on écrit pour le travail, ça peut enlever un peu de magie aux textes...)
Bref, bravo

Bonsoir.

Encore une fois c'est du bon. Il s'agit pourtant d'une scène post baston, je m'attendais à ce que le rythme ralentisse, mais le genestealer a fait son office et permit de faire arriver/introduire les autres space marines dans l'histoire de manière "naturelle".

Toujours cette même brièveté dans les descriptions, et pourtant le peu d'éléments fournis suffit à me faire comprendre la scène ou à me situer les individus. Rien que le repère culturel des noms des space marine suffit pour passer de l'un à l'autre sans se perdre ni faire de redite. Petite astuce bien exploitée ^^

Le colonel tient toujours bien la route, résistant, héroïque, mais pas caricatural ou super héros.

Les petites remarques sur certaines phrases que je trouve mal fichues ou peu mélodieuses:

-"Face à une créature aussi rapide qu’il ne l’était lui-même, il semblait peiner à trouver l’ouverture." Un peu lourd, que penses-tu de remplacer la partie soulignée par un tout bête "que lui" ou "plus rapide que lui"?

-"Il fut soudainement jeté au sol, un revers de bras griffant en profondeur la céramite de son armure, par un coup de cet ignoble bras terminé par une énorme griffe à trois doigts." Très lourd je trouve même si je pense que tu l'as mis pour faire comprendre qu'il s'agit d'un stealer. Je verrai plus un truc dans ce style "un revers de bras se terminant par une énorme griffe à trois doigts lui ayant entamé profondément la céramite de son armure" histoire d'alléger la phrase et la rendre plus dynamique.

-"Je suis au courant, répondit-il" J'aurais écrit soit "l'autre" soit "le premier" à la place de "il".

Dernier point qui a attiré mon attention, ton utilisation des points virgules très réussite, alors que c'est une ponctuation assez difficile à manier!

Comme tu peux le lire, je ne vois pas grand chose qui gêne dans ce texte, il se lit bien, j'attends la suite eheh

Merci beaucoup à tous les deux !

Sykop : je comprend ce que tu veux dire, il ne faudrait pas que ça vire au récit de Space Marines Méta-bourrins qui démontent 12 races xénos et 3 princes démons en ayant juste une dent pétée. Rassure toi, ce passage me sert juste à introduire les personnages au fur et à mesure, et comme tu as pu le voir, Wulfric était en difficulté contre le stealer qui a été abattu de dos

Pour le reste rassure toi : écrire ici est avant tout un plaisir. Me forcer à le faire au moins une fois par semaine me force à l'auto-discipline et c'est toujours positif. Si je perds toute volonté, ce ne sera pas la même limonade, c'est sûr, mais pour le moment je suis plutôt chaud ^^

Artefact : pour commencer merci de ta lecture, de ton commentaire aussi agréable que précis et juste dans sa critique.

Je suis assez d'accord avec toi pour les formulations. Je vais essayer de faire mieux, elles cassent vraiment le rythme de toute façon, il faut les reprendre. En tous les cas je suis heureux d'avoir vos avis et impressions. Peu de gens me lisent, il est donc particulièrement agréable d'avoir des personnes qui apprécient mais qui critiquent avec arguments et précisions. Merci de prendre de votre temps les gars, c'est apprécié, vraiment.

C'est plutôt nous qui devons te remercier mais j'ai une question: le genestealer, c'est un alpha ou pas?

Bonne question ! J'ai hésité à en faire un normal ou un Alpha, et j'ai finalement opté pour un simple.

D'accord. Mais du coup c'est étrange qu'il décapite un trygon en mode Hardcore et qu'il peine à abattre un genestealer non? (après c'est vrai que je raisonne à partir du codex, et pas du fluff tyty que je ne connais pas)

Pars du principe que le Trygon s'est mangé des tirs de Leman Russ et a une grosse déchirure au flanc provoqué par le coup d'épée énergétique du colonel : il était encore en pleine possession de ses moyens mais ralenti.

Le Genestealer était en pleine forme de son côté, et j'ai imaginé Wulfric comme un personnage rapide mais ayant du mal avec ceux qui égalent sa vitesse. Ce n'est pas un duelliste, c'est un guerrier. Et puis s'il y a une chose que le jeu Space Hulk nous apprend, c'est que même pour l'élite des Terminators de l'Imperium, un genestealer c'est dangereux ^^

Oui effectivement vu comme ça... J'imagine bien le colonel faire un saut propulsé avec son sabre et massacrer le trygon ^^ (un peu comme Yajirobé qui coupe la queue de Végéta dans Dragon Ball )

Taros est un personnage secondaire donc il ne faudrait pas qu'il vole la vedette aux héros ^^

Malgré tout, ton idée est marrante sur le principe ^^

En revanche, je ne veux nullement faire du "ouin ouin" mais je suis un petit peu déçu. Sur le premier texte, 4 personnes différentes commentent ; 3 sur le second, et 2 pour le dernier.

Non pas que je n'accorde pas de valeur à ceux qui continuent, au contraire, je suis tout particulièrement reconnaissant, mais ça aurait tendance à m'incliner à penser que ça devient de moins en moins bon. Il va falloir que je fasse des efforts pour m'améliorer à ce qu'il semble.

Bon, je tiens aussi compte du fait que l'une des personnes qui commente d'habitude c'est Raziel...

Ho désolé j'ai "oublié" de poster, mais je savais pas trop quoi dire.
J'ai bien aimé, ça se lit très bien, et même si je ne suis pas particulièrement intéressé par les SM, j'ai lu les 3 chapitres avec plaisir.
Après je n'ai pas le sens d'analyse de Raziel c'est clair donc heu, a part j'aime bien j'ai pas grand chose à dire.
(ha si peut être, est ce que ça va parler de nécrons aussi ?)

Je peux le dire : ça parlera même beaucoup de Nécrons, mais pas tout de suite ^^

Merci pour ton commentaire. ^_^

Ha cool je vais doublement suivre le sujet alors!
Vite la suite

Voila j'ai tout fini de lire les chapitres 2 et 3 (j'avais lu le 1er hier soir) alors mon avis. Pour commencer je dirais que même si ce n'est pas parfait, c'est agréable à lire.

Par contre une chose que je me demande c'est ce à quoi va ressembler la suite, au vu des différents réponses aux commentaires, j'en déduit qu'il y aura des nécrons, et que les personnages principaux seront les marines Deathwatch. Mais cela sera t'il plutôt une série de bataille ou il y aura tout une intrigue avec des évolutions de personnage ?

Pourrait t'on avoir un genre de petit résumer en quelques lignes, un peu comme ce que l'on trouve au dos d'un roman, pour nous mettre encore plus l'eau à la bouche.

Salut à toi et tout d'abord merci de m'avoir lu, ça fait toujours plaisir.

Il va y avoir une intrigue continue et suivie avec évolution des personnages.

Pour un résumé comme un quatrième de couverture c'est une idée mais j'ai peur de trop en dire et d'un peu casser la surprise concernant certains évènements.

Disons simplement ceci : une vrille de Flotte Ruche arrive dans un sous-secteur habité de l'Imperium et les forces locales repoussent l'envahisseur comme elles le peuvent mais ça reste un bras de fer trop dur à long terme (repousser efficacement une Flotte Ruche ça n'a pas été fait souvent ni sans disposer d'énormément de moyens), Une équipe de la Deathwatxh est donc envoyée mener des opérations de soutien, jusqu'à ce qu'ils reçoivent un nouvel ordre de mission qui ne semble avoir aucun sens.

J'arrête là ^^

J'adore. Dommage que je soye malade, par se que je suis un peu lent. J'ai pas vraiment de défaut à te dire. Tous se que je dis moi c'est pitier un Dark Angels

J'ai bien peur que non mon gars, il n'y aucun guest Dark Angel dans mon casting. ^^

Si mes textes te permettent de légèrement sortir (mentalement) de ton lit car tu es malade, j'en suis heureux.

J'espère que l'absence de fils du lion ne t'empêchera pas de découvrir la suite ^^

Moi à force de la réclamer j'ai bien eu mon implosion. . Mais je crois que c'est un peu trop tard pour rajouté un Dark Angel au casting.

Dommage car sa aurait fait un bon combo, le commandant étant un Space Wolf. Les anciennes rivalitée aurait pu rajouté du drama. Voir mieux! Ils auraient pu tombé sur une autre équipe de la Deathwatch. Les 2 groupes ne sachant pas que l'autre était là, la surprise et la rivalité aurait pu donné son grain de sel